[ESSAI] SEAT LEON CUPRA R
Posté : 26 mars 2012, 12:35
Seat leon Cupra R…un nom qui évoque tout de suite la sportivité !
Au delà de ces fameux tdi, seat cultive une image de sportive grâce à ces modèles essences badgés du sigle « R ».
« R » pour rageur, rigoureux ou on contraire rigolo et ringard ?
Voici l’essai.
Esthétique :
ça commence mal, on devait avoir une « CUPRA R » et je me retrouve avec une seat leon tdi montée de jantes imposantes limite effet tuning !
Ah au temps pour moi, c’est bien une seat leon cupra R (quelques petits signes discrets me l’indiquant).
Certains (comme autovox) aiment sa discrétion, d’autres le lui reprocheront.
Pour une spanish, ça manque de caractère !
Malgré tout, cette seat leon reste une voiture élégante et bien dessinée.
Intérieur :
Mi figue mi raisin.
D’un coté, on a un « poste de pilotage » très sportif, avec volant sport et sièges baquets offrant un parfait maintient ainsi qu’un confort honorable. La position de conduite est parfaite et on s’y sent bien.
De l’autre, on a le côté « cheap » de la chose si je puis m’exprimer ainsi.
Les plastiques et les tissus ne sont hélas pas au niveau en terme de qualité pour un véhicule vendu 44 000 euros. Mais l’essentiel est ailleurs…
Conduite :
Véhicules à deux visages.
Le premier permet une conduite douce, avec un moteur qui reprend des 1500 tours, combiné à des suspensions fermes mais bien amorties.
Cette leon vous permettra de vous ballader en toute tranquillité.
Le second est tout autre. Pédale de droite au plancher, la cupra confirme le « R » de rageur ! Que ça pousse !
1 ère, 2 cde, 3 ème, crissement des pneus à chaque rapport. Le paysage défile à vitesse grand V. Les 265 chevaux sont la et courent dans le même sens.
En conduite sportive, la voiture reste équilibré quelque soit la situation. Seul le train avant aura parfois tendance à être un peu baladeur mais le différentiel électronique sera la pour le rattraper (dans la mesure du possible).
Niveau consommation, vitesse stabilisée à 110 on tourne à 8 litres. En mode sport…dois je le dire ? Rajoutez en 10 ...
Conclusion :
Ce modèle « cupra R » nous montre que seat sait faire des voitures de sport.
Pour les plus pointilleux et pour comparatif, une megane 3 RS serait à mon sens un meilleur choix, de part son châssis plus affuté ainsi que son moteur plus caractériel.
A cela vient se rajouter le différentiel électronique, assistance parfois castratrice.
Malgré tout, voiture homogène, moteur démonstratif, cette cupra R a les atouts pour convaincre les amoureux de sport auto.
Points forts :
- Moteur explosif
- position de conduite
- les sièges baquets
- la tenue de route
- le confort pour une sportive
Points faibles :
- look
- qualité de fabrication
- prix réunion
- insonorisation à l'arrière
Au delà de ces fameux tdi, seat cultive une image de sportive grâce à ces modèles essences badgés du sigle « R ».
« R » pour rageur, rigoureux ou on contraire rigolo et ringard ?
Voici l’essai.
Esthétique :
ça commence mal, on devait avoir une « CUPRA R » et je me retrouve avec une seat leon tdi montée de jantes imposantes limite effet tuning !
Ah au temps pour moi, c’est bien une seat leon cupra R (quelques petits signes discrets me l’indiquant).
Certains (comme autovox) aiment sa discrétion, d’autres le lui reprocheront.
Pour une spanish, ça manque de caractère !
Malgré tout, cette seat leon reste une voiture élégante et bien dessinée.
Intérieur :
Mi figue mi raisin.
D’un coté, on a un « poste de pilotage » très sportif, avec volant sport et sièges baquets offrant un parfait maintient ainsi qu’un confort honorable. La position de conduite est parfaite et on s’y sent bien.
De l’autre, on a le côté « cheap » de la chose si je puis m’exprimer ainsi.
Les plastiques et les tissus ne sont hélas pas au niveau en terme de qualité pour un véhicule vendu 44 000 euros. Mais l’essentiel est ailleurs…
Conduite :
Véhicules à deux visages.
Le premier permet une conduite douce, avec un moteur qui reprend des 1500 tours, combiné à des suspensions fermes mais bien amorties.
Cette leon vous permettra de vous ballader en toute tranquillité.
Le second est tout autre. Pédale de droite au plancher, la cupra confirme le « R » de rageur ! Que ça pousse !
1 ère, 2 cde, 3 ème, crissement des pneus à chaque rapport. Le paysage défile à vitesse grand V. Les 265 chevaux sont la et courent dans le même sens.
En conduite sportive, la voiture reste équilibré quelque soit la situation. Seul le train avant aura parfois tendance à être un peu baladeur mais le différentiel électronique sera la pour le rattraper (dans la mesure du possible).
Niveau consommation, vitesse stabilisée à 110 on tourne à 8 litres. En mode sport…dois je le dire ? Rajoutez en 10 ...
Conclusion :
Ce modèle « cupra R » nous montre que seat sait faire des voitures de sport.
Pour les plus pointilleux et pour comparatif, une megane 3 RS serait à mon sens un meilleur choix, de part son châssis plus affuté ainsi que son moteur plus caractériel.
A cela vient se rajouter le différentiel électronique, assistance parfois castratrice.
Malgré tout, voiture homogène, moteur démonstratif, cette cupra R a les atouts pour convaincre les amoureux de sport auto.
Points forts :
- Moteur explosif
- position de conduite
- les sièges baquets
- la tenue de route
- le confort pour une sportive
Points faibles :
- look
- qualité de fabrication
- prix réunion
- insonorisation à l'arrière
soit 14.000€ plus chère qu'en France...
en plus a ce prix la je m' en paye presque 2
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