[Technologie A9] Polémique
Posté : 27 juil. 2008, 09:51
Seriez vous aussi satisfait de ce produit sans toutes les attestations affichées sur ce rpoduit ???
PS: BIG UP run974.org (Plus partuculièrement à un de ses membres mais qui?? Mystère
Pourtant, Technologie A9 fait l’objet de plusieurs polémiques et ses utilisateurs ne vérifient pas toujours les promesses de performances.
4266 kilomètres sans huile, au volant d’une Citroën. La performance a été réalisée en 2005, à La Réunion et authentifiée par un huissier. A l’intérieur du moteur, la responsable de ce miracle est la Technologie A9. « Cette performance a pour seul but de prouver l’existence et les incroyables performances du film rémanent », précise Stéphane Blot manager de Technologie A9 à la Réunion. Mais « rouler sans huile n’est du tout préconisé par A9 » s’empresse-t-il de rajouter. Les faits sont pourtant là. Les « cosmétiques industriels » qui composent le produit se « collent » sur les parois du moteur. Ce n’est plus l’huile mais ce film qui lubrifie. De quoi révolutionner l’industrie de l’automobile !
En réalité, A9 n’a pas chamboulé les règles du marché. Sauf sur un petit bout de terre français dans l’océan pacifique. En Nouvelle-Calédonie, A9 aurait cannibalisé 50 % du marché. « Là-bas, on fait jeu égal avec Total », affirme Stéphane Blot. C’est aussi par là qu’A9 a dû affronter l’une des plus grosses polémiques de sa jeune histoire. Un journal local a mis en cause tous les labels de laboratoire officiel dont se prévaut A9 sur ses bidons. Parmi eux, des poids lourds du secteur à l’excellente réputation : l’Inrest (Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité), l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) mais aussi l’Utac (Union technique de l’automobile et du cycle) ont réfuté les authentifications. Autrement dit, A9 utiliserait et abuserait de l’image de ces laboratoires pour mieux vendre son produit. « Ce qu’on annonce n’est pas faux, se défend Stéphane Blot. On nous reproche simplement d’avoir fait une utilisation commerciale de l’Inrest qui n’a pas cette vocation. Les laboratoires ne disent pas que notre produit ne marche pas ». Trop tard. La polémique, via le net, a largement eu le temps de se propager. « Après avoir lu cet article j’étais un peu dégoûté de payer aussi cher en croyant prendre un produit reconnu de tous et du monde entier », écrit un internaute sur le site run974.org. « Enfin moi, j’ai quand même testé leur produit : le motoreco, l’injecteco et le lubrifiant, ajoute un autre. J’en ai eu pour 130 euros de produits au salon de l’auto. Le lubrifiant a marché pour ma boîte de vitesses, j’en suis très content mais c’est cher.L’additif huile n’est pas mal non plus. Pour le carburant, j’ai rien ressenti de perceptible ». Le sujet a en tout cas déchaîné les passions.
Plusieurs professionnels de l’Ile ont pourtant décidé de lui faire confiance. Nicollin, spécialisé dans le ramassage des déchets s’est même fendu d’une attestation très officielle pour vanter les produits. L’entreprise assure avoir choisi A9 qui lui permet de doubler l’espacement de ses vidanges. Même chose pour Sucrière de la Réunion qui assure, par écrit, être très satisfaite de ces produits. De grands distributeurs ont également accepté de vendre les produits. Quant aux garagistes, leurs avis divergent. « Ce n’est peut-être pas un mauvais produit, glisse un professionnel de Saint-Denis. Mais nous utilisons une bonne huile, moins chère, qui nous permet également d’espacer nos vidanges ».
Jean-Philippe Lutton
Les avantages d’A9...selon A9
La technologie A9 permettrait d’agir sur trois points du fonctionnement du moteur. A commencer par la consommation en essence. Le fabricant annonce des gains de 5 à 10 % en ville et de 70 à 100% d’appoints en huile. Même principe sur les rejets polluants. A9 "réduit considérablement" le monoxyde de carbone. "Ce gaz est mortel, affirme Stéphane Blot. Les voitures en émettent à fond, particulièrement à froid ou les filtres à particules et les pots catalytiques sont inopérants." Les gains s’échelonneraient de 20 % en ville pour les moteurs essence à 40 % pour les diesels à l’accélération. Enfin, A9 aurait un effet sur l’usure du moteur grâce à son film rémanent qui limite les frottements métal contre métal.
PS: BIG UP run974.org (Plus partuculièrement à un de ses membres mais qui?? Mystère
Pourtant, Technologie A9 fait l’objet de plusieurs polémiques et ses utilisateurs ne vérifient pas toujours les promesses de performances.
4266 kilomètres sans huile, au volant d’une Citroën. La performance a été réalisée en 2005, à La Réunion et authentifiée par un huissier. A l’intérieur du moteur, la responsable de ce miracle est la Technologie A9. « Cette performance a pour seul but de prouver l’existence et les incroyables performances du film rémanent », précise Stéphane Blot manager de Technologie A9 à la Réunion. Mais « rouler sans huile n’est du tout préconisé par A9 » s’empresse-t-il de rajouter. Les faits sont pourtant là. Les « cosmétiques industriels » qui composent le produit se « collent » sur les parois du moteur. Ce n’est plus l’huile mais ce film qui lubrifie. De quoi révolutionner l’industrie de l’automobile !
En réalité, A9 n’a pas chamboulé les règles du marché. Sauf sur un petit bout de terre français dans l’océan pacifique. En Nouvelle-Calédonie, A9 aurait cannibalisé 50 % du marché. « Là-bas, on fait jeu égal avec Total », affirme Stéphane Blot. C’est aussi par là qu’A9 a dû affronter l’une des plus grosses polémiques de sa jeune histoire. Un journal local a mis en cause tous les labels de laboratoire officiel dont se prévaut A9 sur ses bidons. Parmi eux, des poids lourds du secteur à l’excellente réputation : l’Inrest (Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité), l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) mais aussi l’Utac (Union technique de l’automobile et du cycle) ont réfuté les authentifications. Autrement dit, A9 utiliserait et abuserait de l’image de ces laboratoires pour mieux vendre son produit. « Ce qu’on annonce n’est pas faux, se défend Stéphane Blot. On nous reproche simplement d’avoir fait une utilisation commerciale de l’Inrest qui n’a pas cette vocation. Les laboratoires ne disent pas que notre produit ne marche pas ». Trop tard. La polémique, via le net, a largement eu le temps de se propager. « Après avoir lu cet article j’étais un peu dégoûté de payer aussi cher en croyant prendre un produit reconnu de tous et du monde entier », écrit un internaute sur le site run974.org. « Enfin moi, j’ai quand même testé leur produit : le motoreco, l’injecteco et le lubrifiant, ajoute un autre. J’en ai eu pour 130 euros de produits au salon de l’auto. Le lubrifiant a marché pour ma boîte de vitesses, j’en suis très content mais c’est cher.L’additif huile n’est pas mal non plus. Pour le carburant, j’ai rien ressenti de perceptible ». Le sujet a en tout cas déchaîné les passions.
Plusieurs professionnels de l’Ile ont pourtant décidé de lui faire confiance. Nicollin, spécialisé dans le ramassage des déchets s’est même fendu d’une attestation très officielle pour vanter les produits. L’entreprise assure avoir choisi A9 qui lui permet de doubler l’espacement de ses vidanges. Même chose pour Sucrière de la Réunion qui assure, par écrit, être très satisfaite de ces produits. De grands distributeurs ont également accepté de vendre les produits. Quant aux garagistes, leurs avis divergent. « Ce n’est peut-être pas un mauvais produit, glisse un professionnel de Saint-Denis. Mais nous utilisons une bonne huile, moins chère, qui nous permet également d’espacer nos vidanges ».
Jean-Philippe Lutton
Les avantages d’A9...selon A9
La technologie A9 permettrait d’agir sur trois points du fonctionnement du moteur. A commencer par la consommation en essence. Le fabricant annonce des gains de 5 à 10 % en ville et de 70 à 100% d’appoints en huile. Même principe sur les rejets polluants. A9 "réduit considérablement" le monoxyde de carbone. "Ce gaz est mortel, affirme Stéphane Blot. Les voitures en émettent à fond, particulièrement à froid ou les filtres à particules et les pots catalytiques sont inopérants." Les gains s’échelonneraient de 20 % en ville pour les moteurs essence à 40 % pour les diesels à l’accélération. Enfin, A9 aurait un effet sur l’usure du moteur grâce à son film rémanent qui limite les frottements métal contre métal.
, je crois bien que c'est rent qui parlait de l'huile de boite 
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